place saint charles turin

place saint charles turin
Place Saint-Charles avec la staue équestre de
d'Emmanuel Filibert. C'est place historique de Turin avec les
cafés les plus réputés.

place saint charles turin
Détail des façades de la place Saint-Charles.
piazza castello turin
Piazza Castello avec le Palais Madame et au fond à droite,
la Mole Antonelliana. La ville de Turin est sillonée par de
nombreux tramways. Une grande partie d'entre-eux passent
par cette place.

rue piétonne à Turin
Rue piétonne à Turin.

san lorenzo turin

saint laurent turin

san lorenzo turin

san lorenzo turin
Ci-dessus :
Intérieur de San Lorenzo de Turin.

dome de turin

dome de turin
Ci-dessus :
Le dôme de Turin de jour et de nuit.

interieur du dome
Intérieur du dôme de Turin

dome detail

dome detail
Détails du portail principal du dôme de Turin.

superga turin

superga turin
Si jadis pour monter les visiteurs prenaient
la diligence, aujourd'hui c'est aussi un train
d'une autre époque qui les emmènent.

superga turin

superga turin
Ci-dessus: nef et dôme de Superga sur les
hauteurs de Turin.

superga turin
Autel de notre-Dame des Grâce de Superga

superga ex voto

superga ex voto

superga ex voto
Ci-dessus : 3 ex-voto exposés à Superga.
Superga est aussi un lieu où l'on demande à La Vierge
des miracles.

dogana vecchia turin

dogana vecchia turin

dogana vecchia turin
Ci-dessus: l'hôtel Dogana Vecchia à Turin où séjounra Mozart
du 17 au 31 janvier 1771.

parco valentino turin

parco valentino turin
Le parco Valentino à Turin est un lieu de nature au sein
d'une ville fortement urbanisé. Un endroit où se retrouvent
les habitants pour faire du sport ou simplement se détendre
sous des arbres plusieurs fois centenaires.

musee egyptien turin

musee egyptien turin
Statue de pharaon et coffret à maquillage de
Mérit au musée égyptien de Turin.

turin depuis superga

Turin

Sur la route de Turin, je songeais à Friedrich Nietzsche qui souhaitait revoir ses palais, leurs dorures, ses places avant que sa santé ne décline davantage. Syphilitique, il y perdit la raison après avoir embrassé un cheval battu par son cocher place Saint-Charles.

La ville industrielle, les usines Fiat attirant en masse les Calabrais dans les années cinquante, effacèrent durablement l’image de la ville royale, capitale des princes de Savoie.

Fondée par l’empereur Auguste sous le nom “d’Augusta Taurinorum” – à l’origine de son symbole, le taureau – la physionomie actuelle de Turin s’est développé à partir de 1563, date à laquelle elle devient capitale de la Savoie. Elle conservera ce statut jusqu’en 1861.

porte palatine turin
La porte Palatin, l'un des rares vestiges romains de Turin.

C’est Emmanuel Philibert (1528-1580) qui imagina les grandes lignes de Turin. Le chef militaire se mue en chef d’Etat. En bon stratège, il déplace sa capitale à l’abri des chaînes alpines  au milieu des plaines fertiles du Pô. Ses successeurs élèveront des églises, des palais, aménageront des perspectives, des places monumentales reliées par des avenues rectilignes toutes aussi monumentales.

J’aime ces grandes places royales. Du regard l’on embrasse la totalité de l’espace, l’on perçoit la géométrie des lieux, les décorations discrètes des palais qui leur donne une unité. Je toujours suis attiré par les silhouettes, les mouvements que l’on devine au loin, à l’extrémité des avenues, en me disant que, là-bas, il doit y avoir des choses encore plus intéressantes à voir. Déçu ou pas, c’est comme ça que l’on fait des kilomètres sans s’en apercevoir – ou presque.

place du palais turin
Place du Palais à Turin.

En sortant de la via Roma vers la gare, on débouche sur la Piazza San Carlo, la place centrale de Turin. Réalisée en 1637, elle marque le départ de la ville nouvelle voulue par Charles Emmanuel Ier. Bordée de palais encadrant une statue équestre d’Emmanuel Philibert, sa symétrie est soulignée par deux églises jumelles, Sainte-Christine et Saint-Charles dont les façades baroques contrastent avec celles des palais.

La plus majestueuse d’entre-elles, l’une des plus grandes d’Europe, demeure la piazza Vittorio Veneto qui s’ouvre sur le Pô. Cette partie de la ville fut dessinée en 1673. Son uniformité, ses dimensions, le glissement subtil du classique au baroque séduisirent tous ses visiteurs de Stendhal à Nietzsche. L’ensemble de ces derniers trouvant les galeries fort pratiques, protégeant le passant de la pluie en hiver et de la chaleur en été. Turin en comporte 18 km !

piazza castello
Piazza Castello à Turin

A l’autre extrémité de la via Pô, la piazza Castello est le centre de la cité. D’une surface de 40 000m², sa disposition – dessinée en 1587 par Ascanio Vittozzi, valorise le palais. A côté, le palais Madame est adossé à l’ancienne forteresse médiévale à l’emplacement du decumanus est antique. Il fut complètement remanié pour la venue de Marie Christine de France en 1637

La via Pô est l’une des plus longues de la ville. Elle me parut interminable lors de mon premier séjour. C’est ici que subsiste les anciennes boutiques, les bouquinistes et les anciens cafés. Musi Padre & fils depuis 1707, Al Biceri place de la consolation depuis 1763 et le Café Baratti piazza Castello sous les porches n’ont (presque) pas changé. Les mêmes devantures, les mêmes lambris à l’intérieur, les lustres à pampilles, les décors Art nouveau en façade. J’adore. Dans le centre historique, de nombreuses de petites Maisons du Café sont installées. Les clients, des habitués, s’y pressent, papotent baigné par le parfum d’arabica.

san lorenzo turin
Coupole de San Lorenzo avec seize arcs entremêlés

Les édifices religieux
San Lorenzo
Lors de mon premier séjour turinois, j’avais été très impressionné par les édifices religieux. Je conservais un souvenir extraordinaire de San Lorenzo. Je m’étais littéralement étourdi à suivre les volutes, les courbes et contre-courbes des corniches.

San Lorenzo est des réalisations baroques les plus célèbres d’Italie, œuvre de Guarino Guarini de 1687. Son plan a été remanié au XIXe siècle. Toujours séduit, mais moins impressionné par son plan centré en forme de croix grecque, c’est davantage la coupole soutenue par huit arcs savamment entremêlés, semblant flotter au-dessus du vide, qui m’a séduit. Et, les jeux de lumière, ces contre-jours , ces semi-obscurités du chœur éclairé par des fenêtres invisibles m’ont rappelé les éclairages du Caravage en peinture.

Le Dôme et le Saint-Suaire
Face à un bâtiment moderne sans caractère, l’extérieur du dôme surprend par sa sobriété. Certes, le portail est entouré de piédroits en calcaire sculpté de masques et d’armures, seule concession accordée à la fantaisie.

Elevée au XVIe siècle, il a été modifié à plusieurs reprises et notamment agrandi d’une coupole par Guarini pour accueillir le Saint Suaire. L’intérieur est également sobre d’une tonalité grise comme le granit qui le compose.

La solennité du lieu m’avait marqué lors de mon premier séjour. Je me souviens m’être religieusement assis aux côtés de trois hommes âgés qui, tels les Mages en adoration devant le Christ, semblaient veiller avec dévotion sur la sainte relique ; je n’osai à peine respirer pour ne pas troubler la quiétude du lieu.

Quelques années sont passées par là ; les analyses au carbone 14 aussi. Le Suaire daterait du XIII-XIVe siècle. La communauté scientifique est unanime malgré quelques voix discordantes de-ci de-là Les physiciens auraient analysé un fragment reprisé au Moyen Age.

A l’entrée du Dôme, une plaquette “Comment lire le Saint Suaire”, “Come leggere LA SANTA SINDONE” en majuscules dans le texte. Des commentaires des clichés montrent que l’homme enveloppé dans ce linceul a été crucifié et flagellé. Cependant, est-ce l’effet des analyses, l’évolution des mœurs, l’ambiance n’y est plus.

Personne ne prie devant la relique la plus précieuse de la chrétienté – ou plutôt devant le sarcophage qui la renferme. On papote, on parle des vacances, des paysages alpins. Le plus bruyant est un guide accrédité, badge du Dôme autour du cou.

Les clichés sont interdits. La marchande de souvenirs, gardienne des lieux, a bien vu mon manège avec mon appareil photo. Pas rancunière, elle m’offrira une image pieuse du Saint Suaire à la sortie. Les Turinois me sont apparus très cordiaux, serviables, souriants et attentionnés à mon égard.

superga turin

La basilique de Superga
Dominant la ville, la silhouette de la basilique de Superga se détache sur la colline au Nord-Est de Turin. Lorsque l’on prononce ce nom devant un Turinois ou un Italien, il évoque immédiatement la disparition de l’équipe de football de Turin.

Le 4 mai 1949, l’équipe Grenat revenait à Turin après avoir disputé un match amical à Lisbonne. Malheureusement en raison d’un épais brouillard, le pilote mésestima son altitude et s’écrasa au pied de Superga. Il n’y eut aucun survivant. Aujourd’hui, un oratoire est érigé sur l’une des fondations de Superga.

La Vierge de Superga est vénérée depuis le Moyen Age. D’abord sous la forme d’un pilier de bois puis dans une chapelle. En 1624, son effigie “en carton, abîmée et défigurée par les rats” est remplacée par une statue.

L’élévation de la basilique sera accélérée par l’Histoire, la Grande, celle des batailles. A la veille d’une confrontation quasi perdue d’avance avec les armées de Louis XIV, le duc Victor Amédée vint se recueillir et prier la Vierge. Le lendemain, il vainquit. Les travaux commencèrent en 1717 et s’achevèrent en 1731. Un monastère sera accolé à l’édifice.

Aujourd’hui, un petit train à crémaillère d’une autre époque conduit les touristes à Superga. Les bancs sont en bois, ça trinquaille et sur l’une des manettes du mécanicien, une plaque porte la date de 1928.
Il ne manque que les crinolines et les canotiers. Après une vingtaine de minutes, le train s’arrête dans les sous-bois en contrebas de la basilique. En ce matin d’octobre, l’air est limpide, je domine Turin. Je reconnais la via Po, la Piazza Veneto et la Mole Antonelliana qui figure sur la pièce de 5ct d’euros italien.
Un parfum de rosée, de mousse humide et de feuilles mouillées par la nuit annonçant l’automne emplit l’atmosphère.

De loin, la silhouette de Superga se détachait à l’horizon, maintenant il faut faire plusieurs mètres en arrière pour que le regard embrasse la totalité de l’édifice. Superga est massive, impressionnante mais elle n’est pas pesante. Son dôme, ses clochers latéraux, s’élancent vers le ciel ; d’un bleu très pur ce matin là.

Sous cette lumière claire, les marbres  semblent immaculés, les ocres profonds et lumineux. L’intérieur en comparaison me semble trop sobre, le visiteur est absorbée le volume du dôme, très léger en dépit de son immensité. D’après moi, cette monumentalité, ce vide immense se veut spirituel. C’est ici que les princes de Savoie priaient et c’est ici qu’ils reposent. Juste sous mes pieds.  “Cathédrale” aérienne pour les vivants et crypte pour les défunts. Les premiers priant pour le salut des seconds et l’âme des seconds devant peut-être guider les premiers.

L’accès au saint des saints est payant et accompagné d’un retraité qui nous introduit dans les lieux avec solennité. Les gestes sont posés, la voix est mesurée. Arrêt devant la statue de Saint Michel Archange, celui qui sauve les âmes du purgatoire et entrée dans la crypte. En silence.  Ce silence, le lieu l’impose de lui-même. Le plafond semble bas après le passage par le dôme, plusieurs caveaux encerclent le visiteur. L’un d’eux est décoré d’épines, symbole d’un règne contrarié par un exil du à la victoire des troupes napoléoniennes.

Je craignais avoir à subir la généalogie par le menu des princes, des rois et des princesses de Savoie mais l’histoire s’efface devant l’art. Notre guide préfère commenter les allégories représentées, comme celle sur le sarcophage de Charles Emmanuel de Savoie, et souligner la finesse des œuvres , le savoir-faire des sculpteurs. Celui-ci apparaît surtout dans la partie réservée aux femmes.

A ce moment, je songe aux cimetières de Gènes et de Milan, à ces tombes si émouvantes. Le guide interrompt mes pensées en soulignant, très justement, que ces artistes, contrairement à ceux qui exposaient à la même époque dans les salons, ne seront jamais reconnus en tant que tel. On ne rend pas d’hommage aux sculpteurs funéraires. Et pourtant, les putti sur la tombe de Maria Adélaïde valent ceux qui volent sur les corniches de nombreuses églises ; l’amour du détail de l’auteur du monument dédié à Maria Vittoria vaut bien les effets d’un Canova.

Les visiteurs et moi le premier ne peuvent s’empêcher de caresser ses cheveux, chaque mèche se distingue des autres. Si le sentimentalisme de Gènes et de Milan est absent, l’émotion est là.

Elle culmine après l’entrée dans la partie réservée enfants. Non pas qu’il y ait de sculptures, non, simplement de sobres caveaux. Mais en quantités. C’est ce nombre qui provoque l’émotion. La majorité des caveaux est vide dans l’attente de la mort d’un nourrisson. C’est à ce signe que l’on s’aperçoit des ravages de la mortalité infantile jusqu’à une date récente. Et encore, ici nous sommes en présence de familles royales ; on n’ose imaginer ce qu’il advenait dans les classes populaires.

via comte verde turin
Via Comte Verde près du Dôme et les restaurants

A la recherche du temps perdu
En choisissant Turin, c’est la ville historique que je recherchais, ses places, ses églises et ses palais. Pour rester dans l’ambiance, je décidai de descendre à l’hôtel La Dogana Vecchia, un palais du début du XVIIe siècle à deux pas du dôme, situé, à l’époque,  sur la route de Milan.

J’imagine une sorte de relais de diligences. Des voyageurs célèbres y sont passés ou y ont séjourné : Napoléon, Verdi et surtout Mozart du 14 au 31 janvier 1771. Léopold Mozart amena son fils  à Turin dans l’espoir de lui faire obtenir une charge par le roi Charles Emmanuel III. En vain.

A l’époque, ma chambre au 4e étage, devait être le domaine des domestiques. Les suites à baldaquins sont au piano nobile, au Ier étage. Qu’importe. Les couloirs, les escaliers, les petits salons possèdent encore leur lustre d’époque – du moins je préfère le croire.

Dans la grande salle à manger où est servi le petit-déjeuner, je m’assois chaque matin à la même place sous le portrait de Mozart. La serveuse est souriante, aimable, le buffet est varié mais sobre. Dans un coin, sous les moulures ouvragées et les lustres à pampilles, un piano paraît abandonné. Le jeune Amadeus fêta ici ses quinze ans. Peut-être a-t-il interprété une de ses œuvres dans cette salle. En tous cas, la direction ne sonorise pas les lieux, seuls les bruits des tasses et les craquements de parquet viennent troubler le silence de la pièce.

Même ambiance à la “La Badessa”, un restaurant place Carlo Emmanuelle II. La salle est décorée de portraits de religieux, de statues de saints et l’on est accueilli par des chants grégoriens. Les plats s’inspirent de la cuisine des monastères et du terroir local. Assortiment d’antipasti locaux et mini cannelloni farcis à la morue.

L’autre restaurant, “Panperfoccacia”, fut aussi très sympa. Spécialisé dans les terroirs locaux : risotto au riz Carmagnola avec poivrons et courge et vin d’Alba.

Via Conte Verde d’autres restaurants, en face, étaient également très animés. L’un d’eux proposait des plats à l’ardoise à 5€. C’était noir de monde. Les clients serrés les uns sur les autres à la terrasse mais dans  unejoyeuse convivialité et bonne humeur.

borgo medievale turin
Le borgo medievale de Turin

Le borgo Medievale
Au Parco Valentino et son château, un “des lieux de délices” du XVIIe siècle où la Reine de France donnait des spectacles, des carrousels et autres réjouissances, les Turinois viennent savourer les derniers rayons de soleil avant que l’automne ne s’installe. On joue de la guitare, au ballon, on discute, les couples s’embrassent. D’autres, font leur jogging, du vélo ou de l’aviron sur le Pô – l’école d’aviron a été médaillée au J.O. de Londres en 2012.

Le but de ma visite n’était pas le parc ni le jardin botanique mais le Borgo medievale, une cité du Moyen Age en miniature reconstituée sur le modèle de l’architecture médiévale piémontaise à l’occasion de l’Exposition Générale italienne de 1884.

L’entrée avec les tours et le pont-levis est impressionnante. La ville et ses échoppes se referment sur le visiteur pour le plonger dans le passé. On hésite entre véracité et décor de cinéma.

Le Musée Egyptien
Autre lieu, autre époque. Le musée égyptien de Turin est l’un des plus beaux du monde avec Le Caire et le Louvre. Il fut créé au XIXe siècle après l’acquisition de la collection Dravetti, puis avec l’apport d’œuvres issues de missions archéologiques.

La visite débute par la salle des momies. D’emblée, on plonge dans la mythologie égyptienne avec tous ce qu’il y a de plus impressionnante.  Certaines sont mises à nue, d’autres toujours enveloppées de leurs bandelettes. Aux murs et dans les vitrines sont exposés des papyrus avec des prières extraites du Livre des Morts, des talismans, des amulettes et des ouchebtis – ces statuettes chargées de soulager le défunts des tâches quotidiennes. Contrairement à Pompéi où j’avais constaté beaucoup d’irrevérence pour les victimes du Vésuve, ici c’est le respect qui domine.

On parcourt ensuite des salles remplies de barques votives, de momies d’animaux, d’objets de cultes, de la vie quotidienne, de poteries. On les parcourt vite, trop vite. Il y a aussi des étoffes, des tuniques. Certes les couleurs sont passées mais je reste admiratif devant le tissage et les formes.

Ce qui m’a le plus intéressé c’est la tombe de l’architecte Ka et de sa femme Merit. Pour la première fois, je découvrais l’ensemble des objets d’une tombe rassemblés et mis en scène (presque) à l’identique. Bien sûr il y a les sarcophages, les bijoux mais aussi les coffrets à maquillages, les vêtements et surtout des produits périssables. Un colliers de fleurs a traversé les siècles – les millénaires même – des offrandes de nourriture aussi. Difficile d’identifier le plat à l’œil nu mais il s’agit de viandes et de légumes d’après la notice.

Au sous-sol, on quitte les salles à la muséographie héritée du XIXe siècle pour des pièces en semi-obscurité avec des projecteurs pointés vers les œuvres. Et quelles œuvres ! C’est ici que sont conservées les pièces les plus imposantes, des statues de pharaons en granit noir, des Déesses en grès rose parfois de plusieurs mètres de haut.

A la sortie j’ai mis un certain temps à revenir dans la ville baroque. Les fastes des églises ne m’ont plus paru aussi spectaculaires après.

Turin m’est apparu comme une ville au riche patrimoine, je n’en est vu qu’une faible partie, et une ville jeune, animée, décontractée où les habitants prennent le temps de profiter de la vie, d’écouter les touristes, de les renseigner pendant un certain temps sur les quartiers à visiter…

place de la mairie turinPlace de la mairie Turin

 

porte palatine


porte palatine turin

La Porte Palatine marque l'une des entrées de Turin
à l'époque romaine.

palais madame turin

palais madame turin
Palais Madame et un détail des statues disposées sur
la balustrade sur le toit.

mole antonenialla
La porte palatine et la Mole Antonelliana, le plus ancien
et l'un des plus récents monuments de Turin. La Mole est
visble de presque partout à Turin.

piazza vittorio veneto turin
Piazza Vittorio Veneto, l'une des plus grandes du pays.

via po
Via Pô à Turin.

.via po turin

boutiques art nouveau turin

cafe turin

piazza castello turin

Ci-dessus : Turin compte de nombreux cafés anciens.
Ici, Musi Padre & Figli et ceux de la piazza Castello,
avec des décors art nouveau, camés de marbre...

porche de turin
Une rue couverte de porche de Turin.

Turin galerie

turin art deco
Turin : deux galeries entre Art Nouveau et Art Déco.

superga
Annonciation dans la basilique de Superga, Turin.

superga turin
Autel majeur de Superga, Dans le registre inférieur,
la bataille évoque la victoire contre les troupes de
Louis XIV à l'origine de la fondation de la basilique.
superga
Détail de la nef de Superga.


superga
Crypte de Superga (cliché extrait de la plaquette
"Reale Mausoleo dei Savoia".

La badessa turin
Restaurant la Badessa. Décor et cuisine inspirés par
la vie monastique.

borgo medievale turin

borgo medievale turin

borgo medievale turin
Ci-dessus : le Borgo Medievale de Turin, une petite
cité du XIVe siècle entièrement reconstituée en 1884
à l'occasion de l'exposition générale italienne.


Visiter la galerie sur Turin la nuit

galerie photo turin

et sur Turin :

turin galerie

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restaurant turin

Renseignements pratiques :

Retrouver ces chroniques dans mon livre
"Bonjour les Italiens"


http://www.comune.torino.it/torinoplus/

http://www.comune.torino.it/fr/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Turin


http://www.museoegizio.org/

Les restaurants :
http://www.labadessa.net/locale.asp

http://www.panxfocaccia.com/i/726/homepage.html

Sur la catastrophe de Superaga :
http://www.ilgrandetorino.net/strage.htm


 


Contact :
italie.chroniques@gmail.com

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